Arrivée à Katmandou
Nous arrivons ce 2 juin matin à l’aéroport de Katmandou après un rapide vol depuis Delhi.
Quelques cargaisons de matériels humanitaires trainent sur le tarmac.
Dans l’aéroport, nous rencontrons 2 journalistes venus une semaine prendre la température au delà des images chocs tournant en boucle à la télé.
Le visa est vite fait ici, il suffit de payer un peu, en cash ou par carte bancaire.
Nous arrivons dans la ville proche du quartier de Tamel afin de nous rendre à notre guesthouse. Nous y trouvons de temps en temps un bâtiment plus ou moins détruit. Certaines rues sont fermées à la circulation des voitures. Des tentes rudimentaires réalisées avec des bâches sont installées où il y a de la place : sur des places; des espaces vert, devant des maisons.
Quelques cargaisons de matériels humanitaires trainent sur le tarmac.
Dans l’aéroport, nous rencontrons 2 journalistes venus une semaine prendre la température au delà des images chocs tournant en boucle à la télé.
Le visa est vite fait ici, il suffit de payer un peu, en cash ou par carte bancaire.
Nous arrivons dans la ville proche du quartier de Tamel afin de nous rendre à notre guesthouse. Nous y trouvons de temps en temps un bâtiment plus ou moins détruit. Certaines rues sont fermées à la circulation des voitures. Des tentes rudimentaires réalisées avec des bâches sont installées où il y a de la place : sur des places; des espaces vert, devant des maisons.
Vidéo Traversée en minibus dans Katmandou
Vidéo prise sur la colline aux singes
Vue sur les Himalayas |
La ville de Katmandou existe encore |
Certains batiments sont bien détruits |
L’accès à l’eau d’ordinaire compliqué n’est pas facilité avec le tremblement de terre |
Certaines rues sont coupées aux voitures : trop de gravas et de batiments à déblayer |
Des habitants dorment dans des tentes de fortune dont les habitations sont trop endommagées ou qui ont peur de dormir à l’intérieur par crainte d’une nouvelle secousse |
Une tente de base |